La Marseillaise. Audience positive au tribunal de commerce

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Les efforts entrepris pour que vive « la Marseillaise » ont été exposés au tribunal de commerce de Marseille mercredi tandis qu’un nouveau rassemblement de soutien se tenait devant ses portes. Délibéré le 19 juillet.

C’est la nouvelle qu’attendaient les amis et salariés de la Marseillaise rassemblés devant le tribunal de commerce. « L’audience a été positive. Il y a encore des efforts à faire sur les chiffres mais nous sommes plutôt contents », indique maître Caradec qui représentait le journal pour cette audience d’étape.

Audrey Garino, directrice générale des éditions des Fédérés, société éditrice de la Marseillaise, résume les points mis en avant pour convaincre le tribunal des efforts consentis : « la restructuration du journal, la belle réussite du Mondial la Marseillaise à pétanque et les avancées accomplies sur le volet immobilier ». « Nous allons concentrer notre travail sur l’augmentation de nos recettes », complète-t-elle.

« Chemin parcouru »

En attendant le délibéré le 19 juillet, Alain Hayot, président des éditions des Fédérés souligne « la tonalité positive de l’audience lors de laquelle il a été réaffirmé que la Marseillaise n’est pas à vendre ». « Le tribunal a pris acte des efforts considérables réalisés, du travail sur l’avenir du site et du grand succès populaire du Mondial. Par ailleurs, des contacts sont en cours avec l’État et les ministres en charge du secteur », indique-t-il à la fois « optimiste » et « conscient » du rôle majeur joué par la souscription en cours.

Pierre Guille, le président du Mondial la Marseillaise à pétanque, se félicite de l’élan donné par la réussite de l’édition 2017. « Le résultat est moins important que le chemin parcouru pour l’atteindre », assure-t-il, heureux d’avoir attiré encore plus de boulistes que l’année précédente et d’être parvenu à organiser l’événement en un temps record après l’extension du redressement judiciaire à l’association organisatrice. « Chaque salarié s’est réapproprié le Mondial qui a permis d’engranger 420 000 euros de recettes. On a réussi tous ensemble, collectivement : les salariés, les bénévoles, les Amis, le comité bouliste départemental », se réjouit-il.

Un succès salué par Jean-Marie Dinh (SNJ-CGT) qui identifie « deux axes essentiels à nos yeux : la préservation de l’emploi et l’entrée de nouveaux capitaux ». Il prévient que « les syndicats CGT de l’entreprise s’opposeront fermement à tout nouveau PSE ». « Nous avons besoin d’apports nouveaux pour régénérer la Marseillaise via des investissements dans les nouvelles technologies et le numérique notamment ainsi que dans la formation », affirme-t-il avant d’insister : « Nous serons porteurs de propositions constructives dans tous les cas pour préserver notre entreprise, notre journal, les emplois et notre indépendance ».

Quant à Serge Baroni, le président des Amis de la Marseillaise, il se dit « satisfait de la tonalité de l’audience ». Il appelle tous les lecteurs « attachés à ce titre » à poursuivre l’effort de souscription et à multiplier les initiatives locales de soutien.

« Nous préparons une belle soirée à l’Agora des galériens pour la rentrée », annonce-t-il avant de promettre d’y revenir plus précisément « dans la page Pour que vive la Marseillaise ». Évidemment.

Léo Purguette

Source La Marseillaise 13/07/2017

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États-Unis. Donald Trump Jr. pris la main dans le pot russe

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Dessin de Ruben, Pays-Bas.

Les courriels publiés par le fils aîné du président sous la pression du New York Times font voler en éclats la défense du camp Trump, affirme le quotidien. Les plus hauts responsables de son équipe de campagne ont bel et bien cherché à obtenir l’aide de Moscou pour battre Hillary Clinton.

Depuis tout ce temps, la vérité était là, dans les courriels de Donald Trump Jr., qu’il a publiés sur Twitter le 11 juillet au matin, après avoir appris que le The New York Times s’apprêtait à en révéler le contenu.

Dans un langage brut et direct à faire rougir un scénariste hollywoodien, ces courriels confirment ce que le président, son fils et d’autres réfutent mordicus depuis plus d’un an : des responsables haut placés de la campagne de Trump ont bien rencontré des représentants du gouvernement russe, dans l’espoir d’obtenir un coup de main pour nuire à Hillary Clinton et faire élire Donald Trump.

Le 3 juin 2016, Donald Trump Jr. a reçu un message de Rob Goldstone, ancien journaliste dans un tabloïd britannique et chargé de presse pour des musiciens, l’informant qu’une avocate du gouvernement russe avait “proposé de fournir à l’équipe de Trump des documents officiels et des informations qui incrimineraient Hillary et ses relations avec la Russie, et qui seraient très utiles à [son] père”.

Et Rob Goldstone de continuer :

Ce sont naturellement des informations hautement confidentielles et sensibles, mais elles s’inscrivent dans le cadre du soutien du gouvernement russe à M. Trump.”

 

“J’adore”

À ce moment, n’importe quelle équipe de campagne à peu près compétente et dotée d’un sens de la déontologie aurait contacté le FBI. C’est ce qu’a fait la campagne d’Al Gore [le candidat démocrate] en 2000 après avoir mystérieusement reçu des documents confidentiels sur les débats qui appartenaient à l’équipe de George W. Bush.

Mais dans le monde du président Trump, l’éthique, c’est pour les imbéciles. Son fils a répondu à Rob Goldstone :

Si c’est ce que vous dites, j’adore, surtout pour la fin de l’été.”

C’est probablement à ce moment qu’il pensait pouvoir faire le plus de dégâts.

Le 9 juin 2016, Trump fils a rencontré l’avocate russe Natalia Vesselnitskaïa, qui a des liens avec le Kremlin. Deux autres proches de Trump père étaient aussi conviés : le directeur de sa campagne, Paul Manafort, et Jared Kushner, le gendre du président qui est aujourd’hui conseiller principal à la Maison-Blanche.

“Du grand n’importe quoi”

Que s’est-il passé à cette réunion?? Rien, à en croire Donald Trump Jr., qui assure qu’elle a eu lieu “avant la fièvre actuelle autour de la Russie”. Moins de deux mois plus tard, CNN l’a interrogé à propos d’affirmations selon lesquelles la Russie essayait d’encourager la campagne de son père. “C’est répugnant, c’est du grand n’importe quoi”, avait alors répondu le fils Trump.

Ce qui est vraiment n’importe quoi, ce sont ses multiples explications contradictoires à propos de ce qui a transpiré de ses échanges avec Mme Vesselnitskaïa. Dimanche, par exemple, il a dit qu’il n’avait révélé à MM. Manafort et Kushner “rien sur le contenu” de la réunion à l’avance. Mais l’objet de l’e-mail d’échanges avec M. Goldstone, que Trump a transféré aux deux hommes, était le suivant : “Russie – Clinton – confidentiel”.

Du point de vue juridique, l’affaire Trump Jr. est mal engagée. La loi sur le financement des campagnes fédérales interdit de solliciter le moindre “élément de valeur” à des ressortissants étrangers. À cette aune-là, le fait que Trump ait accepté la proposition de rencontrer Mme Vesselnitskaïa est déjà très douteux. Toutes les accusations allant dans ce sens pourront être portées par le procureur Robert Mueller III, chargé de l’enquête sur la Russie, ou par le ministère de la Justice.

“Montée en épingle”

Pendant ce temps, les républicains du Congrès restent sagement arrimés sur leurs fauteuils, en position de sécurité, en attendant le crash de l’avion Trump. À en croire le sénateur Orrin Hatch, cette nouvelle affaire de courriels est simplement “montée en épingle” et Donald Trump Jr. est “un charmant jeune homme”.

Quid du président?? Dans son message à Donald Trump Jr., Goldstone concluait sur ces mots : “Je peux aussi envoyer cette information à votre père” par l’intermédiaire d’un assistant. Donald Trump n’a pas eu connaissance de cette rencontre, affirme son fils, ce qui est difficile à croire quand on sait qui y a assisté – et qu’on ne peut prendre pour argent comptant les déclaration du fils Trump au vu de ses précédentes entorses à la vérité.

Mardi, le président américain s’est fait inhabituellement discret sur les réseaux sociaux, se contentant de faire publier un assez terne message de soutien à son fils par le service de presse de la Maison-Blanche : “Mon fils est une personne de haute qualité et je salue sa transparence.” Malheureusement, la transparence est une des qualités, avec la crédibilité, qui font sévèrement défaut à cette administration. C’est pourquoi, lorsque Donald Trump Jr. affirme avoir publié la “totalité de ses échanges d’e-mails”, on ne peut que se demander : que cache-t-il d’autre??

Éditorial The New York Times 12/07/2017

« L’obligation de vaccination risque d’être contre-productive »

Dans une tribune au « Monde », le Collège national des généralistes enseignants estime que l’obligation risque de renforcer la défiance de la population et de soumettre les médecins, et les directeurs d’école, à la pression de parents qui y sont opposés.

TRIBUNE. Dans son discours de politique générale, le premier ministre a annoncé son intention de rendre obligatoires onze vaccins pour la petite enfance, suivant ainsi les propositions de la ministre de la santé. Cette annonce fait suite au constat de l’insuffisance de la couverture vaccinale pour certaines maladies et à la survenue dans ce contexte d’un petit nombre de décès évitables, d’autant plus choquants qu’ils concernaient de jeunes enfants.

Il s’agit d’une mauvaise stratégie qui ne réglera pas le problème de l’insuffisance de couverture vaccinale. L’obligation risque même d’être contre-productive, et de renforcer la défiance d’une partie de la population.

Une des préoccupations légitimes des autorités de santé est de rétablir la confiance de la population dans la protection vaccinale. Cette confiance a été mise à mal en diverses occasions par la campagne vaccinale contre la grippe H1N1 inutilement alarmiste, suivie d’un abandon de la promotion de la vaccination, par la propagande fallacieuse entretenue par certains mouvements sectaires antivaccinaux, ou encore par les liens d’intérêt entre certains promoteurs de la vaccination et les industriels du secteur.

Contraire au principe d’autonomie du patient

Il est incongru de prétendre rétablir la confiance par l’obligation à l’aide d’une forme d’injonction envers les patients. Cette obligation s’inscrit en opposition avec l’évolution de la place du patient dans la gouvernance de sa propre santé et avec la promotion du principe d’autonomie inscrit dans la loi du 4 mars 2002 relative aux droits des patients. Le code de déontologie et la Haute Autorité de santé soulignent également la nécessaire évolution vers une décision médicale partagée.

La transgression de ces principes pourrait se justifier par une crise sanitaire ou une alerte épidémiologique importante, qui n’existent pas. L’épidémie de rougeole, citée en exemple par le premier ministre, a été à l’origine, ces dix..

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Source Le Monde 13/07/2017

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Un traité d’interdiction des armes nucléaires adopté à l’ONU

 Un aide de camp tranporte la valise contenant les codes nucléaires, à la Maison Blanche, le 17 juin. Un aide de camp tranporte la valise contenant les codes nucléaires, à la Maison Blanche, le 17 juin. YURI GRIPAS / REUTERS

Un aide de camp tranporte la valise contenant les codes nucléaires, à la Maison Blanche, le 17 juin. YURI GRIPAS / REUTERS

Voté par 122 Etats mais aucune puissance atomique.

« Historique » pour ses promoteurs, « symbolique » pour ses détracteurs : un tout premier projet de traité sur l’interdiction des armes nucléaires a été adopté à l’ONU, vendredi 7 juillet, par 122 pays sur 192.

Le texte de dix pages sera ouvert à la ratification le 20 septembre et entrera en vigueur si cinquante pays le signent. Fondé sur un argument moral – l’emploi de l’arme atomique aurait des « conséquences catastrophiques sur le plan humanitaire » –, il espère mettre les armes nucléaires hors la loi internationale comme le sont les armes biologiques depuis 1972, et les armes chimiques depuis 1993.

L’initiative a été portée par un consortium d’ONG rassemblées dans la Campagne internationale pour l’abolition des armes nucléaires (ICAN). « Aujourd’hui, la communauté internationale a rejeté les armes nucléaires et a précisé qu’elles sont inacceptables », se félicite l’ICAN. En préambule, les promoteurs du traité se disent « préoccupés par la lenteur du désarmement nucléaire ». Les ONG soulignent par ailleurs que le texte « crée des obligations pour soutenir les victimes de l’utilisation d’armes nucléaires et des essais, et pour réhabiliter les dommages environnementaux causés par ces armes ».

Initiative prise au sérieux

Parmi les Etats ont été en pointe pour le défendre l’Autriche, le Brésil, le Mexique, l’Afrique du Sud, la Suède, l’Irlande et la Nouvelle-Zélande. Mais aucun des neuf pays détenteurs de la bombe, à savoir les six Etats « dotés » au sens des traités internationaux (Etats-Unis, Russie, France, Royaume-Uni, Chine et Inde), auxquels s’ajoutent les Etats non déclarés (Pakistan, Israël et Corée du Nord), n’a participé aux négociations ouvertes le 27 mars. Cette absence vide le nouveau texte de toute portée réelle.

Les Pays-Bas, seul pays parmi les 29 membres de l’OTAN à avoir suivi les discussions, s’étaient abstenus lors de l’adoption de la résolution préparatoire en décembre 2016, se plaçant dans une position difficile au sein de l’Alliance atlantique. Le pays héberge en effet des armes nucléaires américaines. Il a voté contre le traité vendredi. Le Japon, seul pays victime de frappes nucléaires, n’a pas non plus participé aux négociations.

Symbolique, le texte contribue néanmoins à fragiliser la légitimité de l’arme suprême devant l’opinion publique, et l’initiative est prise au sérieux depuis des mois par les Etats dotés. Dans un communiqué commun, la France, les Etats-Unis et le Royaume-Uni ont rejeté vendredi un texte qui « méprise clairement les réalités de l’environnement sécuritaire international », au premier rang desquelles la menace nord-coréenne. Le vote de l’ONU intervient trois jours après le premier test par Pyongyang d’un missile intercontinental, qui place désormais l’Alaska à portée d’un tir nucléaire.

« Le désarmement ne se décrète pas »

« Il n’y a rien que je souhaite tant pour ma famille qu’un monde sans arme nucléaire, mais nous devons être réalistes », avait déclaré l’ambassadrice américaine à l’ONU, Nikki Haley, lors de l’ouverture des pourparlers à l’ONU. Ajoutant : « Qui peut croire que la Corée du Nord accepterait une interdiction des armes nucléaires ? »

« Le problème nucléaire nord-coréen est un problème très grave. Mais (…) il faut garder son sang-froid, il faut agir de manière pragmatique et très délicate », a pour sa part déclaré le président russe, Vladimir Poutine, vendredi au G20, à Hambourg. Moscou a bloqué jeudi à l’ONU un projet américain de déclaration appelant à prendre des « mesures significatives » contre la Corée du Nord.

Mettant en avant la force dissuasive de l’arme nucléaire encadrée par le traité de non-prolifération, mais aussi ses efforts en matière de désarmement, Paris estime que « le désarmement nucléaire ne se décrète pas ». Selon le communiqué du ministère des affaires étrangères, « un traité d’interdiction des armes nucléaires risque d’affecter la sécurité de la région euro-atlantique et la stabilité internationale », et il est « susceptible de fragiliser le traité sur la non-prolifération des armes nucléaires, pierre angulaire du régime de non-prolifération ».

Nathalie Guibert

Source Le Monde 07/07/2017

Voir aussi : Rubrique Ecologie, rubrique Défense, rubrique PolitiqueEdouard Philippe, un chef de gouvernement pas très « vert », Société civile, Face au lobby nucléaire, Ségolène Royal capituleUn accident nucléaire, c’est la fin de la démocratie, rubrique Economie,

Printemps des Comédiens : Un bilan d’ouverture

 

Jean Varela : ne lui parlez pas de taux de remplissage.  Photo dr

Jean Varela : ne lui parlez pas de taux de remplissage. Photo dr

Festival Montpellier
La réussite économique et artistique de la 31ème édition permet de pousser la réflexion pour aller toujours plus loin.

Chaque festival est singulier, chaque festival a son histoire.  Celle du Printemps des Comédiens créée par Daniel Bedos et le Département de l’Hérault est montée en puissance en s’ouvrant sur le monde et en portant une attention particulière au grand public.

L’arrivée de Jean Varela en 2011 marque une transition. « Le premier enjeu a été de  conserver un public large constitué de 40 000 personnes en déplaçant la programmation », explique l’actuel directeur.  Les premiers chiffres de cette 31ème édition confirment que ce défi a été relevé avec une stabilisation du public autour de 40 000 spectateurs et un taux de remplissage avoisinant les 90%.

« Cette approche à travers le taux de remplissage est une forme d’évaluation réductrice et parfois redoutable, s’insurge Jean Varela. Les recettes pour obtenir des résultats stratosphériques sont connues. Ce qui m’intéresse avec le festival aujourd’hui c’est la possibilité de proposer des spectacles en série. Lorsque vous proposez dix représentations d’Ariane Mnouchkine vous permettez à 600 personnes de venir dix fois, ce ne sont pas les mêmes qui viennent et donc vous élargissez votre public. »

Le beau travail d’Eric Lacascade  qui renouvelle la pièce Les Bas-Fonds, écrite par Maxime Gorki au tout début du XXe siècle, a empli le grand amphithéâtre du Domaine d’O  trois soirs d’affilée, fait rarissime pour un théâtre de combat ! L’espièglerie virtuose d’Isabelle Huppert a réuni 1 200 personnes autour d’une lecture de Sade.

Un autre enjeu relevé par le  Printemps que confirme cette édition – qui comptait pas moins de 83 rendez-vous, dont des propositions circassiennes d’une grande qualité artistique, le Cirque Rasposo, Dromesko notamment – réside dans la capacité acquise par le Printemps des Comédiens à proposer des exclusivités nationales.

Ce fut le cas cette année avec le captivant Democracy in America de Romeo Castellucci, pièce co-produite par le festival et données trois fois, librement inspirée du livre de Tocqueville, ou encore de la très belle proposition de Marthaler Sentiments connus, visages mêlés, présentée dans une scénographie originale, poétique et sensible.

Au fil des années Varela, le festival s’éloigne de la consommation, et se taille une visibilité nationale et internationale. La bonne ambiance, la convivialité et l’implication de toute l’équipe qui font partie de l’ADN du Printemps n’y sont évidemment pas étrangères. Les perspectives et les nouveaux enjeux dont celui d’accueillir davantage de jeunes, s’opéreront après cette édition sur une base consolidée.

« L’endroit où se trouve aujourd’hui le Printemps peut aller vers l’accueil de spectacles attendus et inédits et davantage de productions, confirme Jean Varela. Le travail sur les publics et notamment les jeunes est un vrai chantier que nous devons  poursuivre à l’année. »

Après un mois d’euphorie le festival a éteint ses projecteurs mais les lumières scintillent encore dans le corps et l’esprit de ses spectateurs. Ce qui est plutôt de bon augure…

JMDH

Source La Marseillaise 7/07/2017

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