Les Classiques ou les fondements de la science économique moderne

  La pensée Classique est à l’origine de la science économique moderne   Introduction: La pensée économique existe probablement depuis l’Antiquité. Le terme économie a pour origine le grec «oicos» «nomos» signifiant littéralement «les règles d’administration de la maison». Mais … Continuer la lecture

Michéa et la gauche de notre imaginaire collectif

« Pour défendre le socialisme il faut commencer par l’attaquer » disait l’auteur de 1984. Plus que jamais fidèle à la pensée d’Orwell, Jean-Claude Michéa pose, dans son dernier ouvrage, Le Complexe d’Orphée une réflexion critique sur la gauche française. La thèse du philosophe remet en question les grandes tendances – Droite et Gauche -. On aurait remplacé le parti unique par l’alternance unique mais au fond rien ne change… Entretien
Source Jean-Marie Dinh, César, mars 2012 Continuer la lecture

Débats Fnac : Des auteurs décryptent les enjeux politiques

Citoyenneté. La Fnac organise un cycle de débats pour mieux appréhender les propositions des candidats aux présidentielles.
Source : Jean-Marie Dinh, L’Hérault du Jour, 01/03/12 Continuer la lecture

Des infos sur le Mécanisme européen de stabilité

Le PS observe l’Europe avec abstention Alors que la zone euro a accordé une nouvelle aide à la Grèce, la gauche française s’est divisée, hier, lors du vote sur le Mécanisme européen de stabilité à l’Assemblée. Une «capitulation», selon Mélenchon. Sacrée … Continuer la lecture

David Graeber : « Dette : les 5000 premières années  »

Ce qui suit est un fragment d’un projet de recherche beaucoup plus large sur la dette et l’argent de la dette [debt money] dans l’histoire humaine. La conclusion première et majeure de ce projet est qu’en étudiant l’histoire économique, on tend à ignorer systématiquement le rôle de la violence, le rôle absolument central de la guerre et de l’esclavage dans la création et la formation de ce que nous appellons maintenant « l’économie ». De plus, les origines comptent. La violence est peut être invisible, mais elle reste inscrite dans la logique même de notre sens commun économique, dans la nature apparemment évidente des institutions qui n’aurait jamais et ne pourrait jamais exister en dehors du monopole de la violence – mais aussi, la menace systématique de la violence – maintenu par l’Etat contemporain.

Source : Groupe Pavillon Noir. Fédération anarchiste de la Vienne 26/11/11 Continuer la lecture