Aucune écriture n’est innocente
Le 4 octobre 1984, le leader socialiste et panafricaniste Thomas Sankara, élu président du Burkina Faso en 1983, prononça à l’ONU un discours qui marqua les esprits. Il fut assassiné trois ans plus tard. (…) Il est nécessaire, il est urgent que … Continuer la lecture